Putain, ça fait longtemps que je n'ai plus écrit. Ce n'était certainement pas un manque d'inspiration mais bien un manque de temps.
Encore une fois, on a tendance à penser que ce sont les plus cons qui font des études de prof. Et j'ai envie de rire. Autant avant j'aurais défoncé la gueule de n'importe qui me rebalançant ça dans la gueule, autant maintenant je m'en moque. Je m'en moque puisque, depuis le début j'ai bien réalisé que c'était des conneries.
Finalement, je crois que toutes les études se valent. Si la difficulté doit varier, ce n'est sûrement que sur le plan des affinités que l'on peut avoir les différents cours. (Dans le genre, je pourrais jamais faire médecine parce que je suis littéraire. J'aime bien les sciences pour dire des mots qui semblent sexuels et ça s'arrête là - "octamère" ou "nyctalope".)
Bref. Tout ça pour dire que je suis enfin en vacances. Enfin, de vraies vacances. Mon seul devoir de vacances, c'est de trouver des écoles de stage.
Moi qui pensais être la seule à vivre dans ce coin pourri de la Belgique. Haha!
C'est d'ailleurs très étranges, les stages de prof; tu ne sais pas dans quoi tu t'engages (est-ce que le directeur est "bien"? (non parce que vous n'imaginez pas le nombre de psychopathes dans l'enseignement), est-ce que le maître de stage n'est pas un sociopathe qui jouit à l'idée de te descendre? est-ce que les élèves ne sont pas radioactifs? (enfin...))
Je continue de faire mes stages à la "campagne" et, de plus en plus, il devient certain que jamais de ma putain de vie je travaillerai ici. A devenir folle.
Je préfère une classe de 30 élèves avec une diversité culture à son paroxysme qu'une classe avec 10 enfants de fermiers.
Non, je ne suis pas gentille. Mais merde, je me sens vraiment merdique et angoissée dans ce genre d'école.
L'année prochaine, j'ai un stage où je choisis absolument ce que je veux. On se figure que j'aurais voulu aller enseigner dans l'enseignement spécial (cela veut bien dire ce que ça veut dire...), haha!
Je ne critique pas; il y a plein de gens qui aspirent à bosser avec les handicapés mentaux et moteurs, mais je ne pense pas que je puisse en être capable. J'pense qu'il faut être super bien dans sa peau pour faire ça.
Bref, pendant que d'autres ont préféré rester en Belgique pour ce stage, j'ai décidé de partir au Sénégal. Wait & see.
Dans tous les cas, l'idée de partir autant de temps avec mes profs et mes potes me plaît assez. (Oui, parce que certains de nos profs nous suivent jusque là.)
Bref. Bref. Bref. J'en peux plus de causer de ça. J'en peux plus. Mais pourtant je ne parle que de ça.
Shoot me!
«What sick, ridiculous puppets we are. What gross little stage we dance on. What fun we have, dancing and fucking. Not a care in the world. Not knowing that we're nothing in the world.
We are not what was intented.»
2009-06-25
2008-02-23
2008-01-01
Encore une année de merde qui s'achève (et une autre qui commence)
Booon.
Une petite note s'imposait histoire de marquer le coup pour l'année daubique qui s'annonce.
Je hais les réveillons. Je les hais vraiment. C'est pour ça que désormais je fais vraiment plus rien pour ces deux soirées trop déprimantes pour moi.
Je troque volontiers le foie gras et le champagne pour deux valiums.
Qui dit nouvelle année dit malheureusement bilan de cette dernière...Je ne sais pas si je devrais ne fut-ce que penser à le faire, ce bilan.
Néanmoins...
Fiasco sentimental: S., puis P., puis S., puis N., toujours N. maintenant mais S. aussi. Que c'est beau (toutes ces initiales).
P. Oh oui, P. Lui, il aura eu le mérite de briser mon coeur avec brio. Pourtant quand j'en parle encore (comme une vieille alcoolique en manque), je me dis qu'il avait vraiment rien pour lui (à part son intelligence) mais rien n'y fait, c'était P. Ca me faisait rêver.
Enfin bref. Après *attendez, je compte les mois sans l'avoir vu*...après 9 mois sans l'avoir vu, j'arrive encore à sentir mes mains tripotant les boutons de sa chemise.
SOIIIT.
Ce fut également une année bercée d' (de douces?) désillusions. De trahisons (quel mot!) indirectes! (mais ptet bien directes aussi?)
C'était aussi une année que je qualifierais bien de fictive. Dans le sens où...Oui, trop irréelle.
Une année où ma culture générale s'est bien enrichie. Faut bien un point positif.
Bref...J'arrête là, c'est bien trop déprimant à mon goût.
Bon, allez, bonne fin de soirée et tout le tralala. M'en vais regarder les Poupées Russes (putain que c'est trop moi, en fait, Xavier :S)
J'vous embrasse.
PS: Hey Anaïs: "L’amour est un sentiment envers un être semblable ou non à soi. Il est le manifeste d'une force instinctive animale qui consiste à s'attacher à un ou plusieurs individus : pour l'Homme, de manière morale ou désireuse. Il peut être contrôlé par la morale Humaine et devenir une sorte de passion où le désir sexuel n'intervient pas. On peut alors appeler cela une relation amoureuse. Ou alors l'amour n'est pas du tout contrôlé et l'Homme obéit à son instinct primaire qui est la reproduction : l'amour devient alors une envie impulsive où l'Humain ne cherchera pas à se défaire.
L'amour peut être, selon la personne : faible, fort, obsessif ou douloureux. Selon ces critères, il peut être plus ou moins contrôlé par la morale Humaine."
Ca a pas changé.
Une petite note s'imposait histoire de marquer le coup pour l'année daubique qui s'annonce.
Je hais les réveillons. Je les hais vraiment. C'est pour ça que désormais je fais vraiment plus rien pour ces deux soirées trop déprimantes pour moi.
Je troque volontiers le foie gras et le champagne pour deux valiums.
Qui dit nouvelle année dit malheureusement bilan de cette dernière...Je ne sais pas si je devrais ne fut-ce que penser à le faire, ce bilan.
Néanmoins...
Fiasco sentimental: S., puis P., puis S., puis N., toujours N. maintenant mais S. aussi. Que c'est beau (toutes ces initiales).
P. Oh oui, P. Lui, il aura eu le mérite de briser mon coeur avec brio. Pourtant quand j'en parle encore (comme une vieille alcoolique en manque), je me dis qu'il avait vraiment rien pour lui (à part son intelligence) mais rien n'y fait, c'était P. Ca me faisait rêver.
Enfin bref. Après *attendez, je compte les mois sans l'avoir vu*...après 9 mois sans l'avoir vu, j'arrive encore à sentir mes mains tripotant les boutons de sa chemise.
SOIIIT.
Ce fut également une année bercée d' (de douces?) désillusions. De trahisons (quel mot!) indirectes! (mais ptet bien directes aussi?)
C'était aussi une année que je qualifierais bien de fictive. Dans le sens où...Oui, trop irréelle.
Une année où ma culture générale s'est bien enrichie. Faut bien un point positif.
Bref...J'arrête là, c'est bien trop déprimant à mon goût.
Bon, allez, bonne fin de soirée et tout le tralala. M'en vais regarder les Poupées Russes (putain que c'est trop moi, en fait, Xavier :S)
J'vous embrasse.
PS: Hey Anaïs: "L’amour est un sentiment envers un être semblable ou non à soi. Il est le manifeste d'une force instinctive animale qui consiste à s'attacher à un ou plusieurs individus : pour l'Homme, de manière morale ou désireuse. Il peut être contrôlé par la morale Humaine et devenir une sorte de passion où le désir sexuel n'intervient pas. On peut alors appeler cela une relation amoureuse. Ou alors l'amour n'est pas du tout contrôlé et l'Homme obéit à son instinct primaire qui est la reproduction : l'amour devient alors une envie impulsive où l'Humain ne cherchera pas à se défaire.
L'amour peut être, selon la personne : faible, fort, obsessif ou douloureux. Selon ces critères, il peut être plus ou moins contrôlé par la morale Humaine."
Ca a pas changé.
2007-12-31
Quel héros de film es-tu ?
Tout à fait!
2007-12-24
2007-12-12
les instits et enseignants en général
Ca fait longtemps que j'ai pas écrit.
Pas que j'en ai pas envie, mais j'en avais marre de me lamenter. Ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Je suis en manque.
Je me suis dit qu'il serait intéressant de parler des instits avec qui je fais ma vie désormais.
Quand on pense instit, on pense généralement à tous les trucs les plus merdiques concernant la personnalité: gnangnan, débile, fleur bleue, j'kiffasse trop les bébés, j'aime pas le sexe, la drok' c'est mal, pas fumer, pas bwère, et j'en passe.
Bon, alors soit j'ai une classe particulièrement marginale, soit c'est des conneries.
On parle de cul, on picole, on fume, on aime pas forcément les gosses, on est juste des paumés de la vie, et tralalala...
Non, sérieusement, j'avoue que les PS accusent un grave retard mental. (Préscolaires = instits maternels).
J'pourrais faire une petite série de tout ce qui me dégoute chez eux.
Premièrement, quand on matte un doc avec des bébés et qu'ils lâchent tous "OOOOOOOOOOH!!!!!!!!!!<33333", qu'un bébé pleure "HAAAAAAN LE PAUUUUUUVRE!!!", quand on voit un accouchement et par conséquent des poils "BEEEEERK! BON APPETIIIIT!!!", et bla bla bla.
Sinon, le "cliché" qui est vrai, c'est qu'ils sont tous gentils. Tellement que c'est presque inhumain. On a une boîte à dispute. Mais on se dispute jamais. C'est la petite maison dans la prairie. On s'appelle tous de la même manière: chou. "Ca va, chou?" "Merci, chou", "Oh, chou, t'inquiète pas!" "A demain, chou" etc etc. Weird. But nice.
Ca fait du bien de la bienveillance, j'vous assure. J'y suis pas habituée.
Sinon, j'essayerai de refoutre sur le blog toutes mes notes du carnet dépression pathologique de moi-même.
Bonne swarée.
Pas que j'en ai pas envie, mais j'en avais marre de me lamenter. Ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Je suis en manque.
Je me suis dit qu'il serait intéressant de parler des instits avec qui je fais ma vie désormais.
Quand on pense instit, on pense généralement à tous les trucs les plus merdiques concernant la personnalité: gnangnan, débile, fleur bleue, j'kiffasse trop les bébés, j'aime pas le sexe, la drok' c'est mal, pas fumer, pas bwère, et j'en passe.
Bon, alors soit j'ai une classe particulièrement marginale, soit c'est des conneries.
On parle de cul, on picole, on fume, on aime pas forcément les gosses, on est juste des paumés de la vie, et tralalala...
Non, sérieusement, j'avoue que les PS accusent un grave retard mental. (Préscolaires = instits maternels).
J'pourrais faire une petite série de tout ce qui me dégoute chez eux.
Premièrement, quand on matte un doc avec des bébés et qu'ils lâchent tous "OOOOOOOOOOH!!!!!!!!!!<33333", qu'un bébé pleure "HAAAAAAN LE PAUUUUUUVRE!!!", quand on voit un accouchement et par conséquent des poils "BEEEEERK! BON APPETIIIIT!!!", et bla bla bla.
Sinon, le "cliché" qui est vrai, c'est qu'ils sont tous gentils. Tellement que c'est presque inhumain. On a une boîte à dispute. Mais on se dispute jamais. C'est la petite maison dans la prairie. On s'appelle tous de la même manière: chou. "Ca va, chou?" "Merci, chou", "Oh, chou, t'inquiète pas!" "A demain, chou" etc etc. Weird. But nice.
Ca fait du bien de la bienveillance, j'vous assure. J'y suis pas habituée.
Sinon, j'essayerai de refoutre sur le blog toutes mes notes du carnet dépression pathologique de moi-même.
Bonne swarée.
2007-10-01
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