«What sick, ridiculous puppets we are. What gross little stage we dance on. What fun we have, dancing and fucking. Not a care in the world. Not knowing that we're nothing in the world. We are not what was intented.»

2007-06-03

C'est assez drôle l'auto-persuasion, en fait.
Genre j'essaye de me convaincre que je l'aime plus (et j'y arrive) mais en fait je sais qu'en deux secondes (même pas, en fait), je peux retomber totalement amoureuse de lui. Lui, ce connard, que je hais en fait. Mais que j'aime, aussi.
Pourquoi tout ne pourrait pas être réciproque, hein?
Sûrement pour pouvoir agrandir la collection Harlequin.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Hello So!

Mon moi virtuel profite de mon état fantômesquatique dû aux examens pour reprendre un peu de pouvoir...

Alors je passais ici te saluer, voir si tu allais toujours aussi bien... Ici, c'est un peu mon rayon de soleil, quand tout va mal, je passe ici, toute cette couleur, cette joie de vivre, ça me rend la pêche!

J'imagine que tu te fiches de tes examens vu que tu comptes changer de section l'année prochaine, à moins que tu aies des dispenses, blablabla (on en a rien à foutre de tous ces trucs normaux, mais c'est quand même une sale habitude).

Tu peux m'répondre par sms, je mettrai un bout de temps avant de revenir lire ici.

à bientôt, bises

PS; pour ta note, j'le connaaaais? =D

Eraser a dit…

Non, tu le connais pas.
Le jour où je tomberai amoureuse de quelqu'un de la région n'est vraiment pas près d'arriver, haha.
Puis c'est un connard, lalala! Pidi pidi pidi pidiiiiii (ouh, ça fait du bien).
((Je suis vraiment une fille, en faiit..))
Bisous Simon (et tout va bien, j'espère que c'est pareil de ton côté)